Bonjour ! J’ai fait ce rêve la nuit dernière… Je
suis une jeune fille dans une tribu, qui habite un village de huttes,
à la lisière d’une forêt, qui pourrait être en Amazonie. A l’exception
d’un pagne de tissu coloré, tout le monde est nu. C’est jour de cérémonie,
les corps de toutes les jeunes filles sont peints, d’une seule couleur,
ocre rouge. Autour du cou, nous avons un collier composé de sept pétales
de couleurs différentes. Cela signifie que nous devrons, en ce jour
sacré, accorder nos faveurs à tous ceux qui se présenteront à nous
avec un pétale, d’une couleur identique à l’un de ceux que nous portons,
qu’il nous enlèverons ensuite. Malgré le caractère de ce jour, nous
vaquons à nos occupations quotidiennes. Ainsi, je pars laver du linge
à la rivière, avec une autre jeune fille. Nous sommes agenouillées
au bord de l’eau, et bavardons, dans une langue incompréhensible,
mais que je semble très bien maîtriser dans mon rêve, tout en lavant
des tissus, colorés comme nos pagnes. A ce moment, un homme du village
surgit derrière nous, et avant que nous ayons pu réagir, il est accroupi,
collé derrière moi, il écart mon pagne, avant de me pénétrer d’un
seul coup, en criant comme un animal. Je hurle, plus de surprise que
de douleur Il se livre à des ruades sauvages, que je subis en criant,
le visage et le torse écrasé dans la boue du rivage. Je ne peux voir
le membre s’engouffrer et ressortir d’entre mes fesses, mais je devine
le spectacle, au visage de mon amie. En quelques va-et-vient, l’homme
arrive à l’orgasme, et se retire, tenant sa queue d’une main ramenée
près des couilles, pour cracher une semence épaisse et blanche, en
une série de jets puissants, sur mes reins rougis, en lâchant un cri
guttural. Je me suis écroulée sur le côté, anéantie par la violence
de l’assaut. L’homme s’agenouille près de moi et m’introduit son gland
dans la bouche. Il a un goût d’amande, et j’entreprends de le sucer,
pour le nettoyer de nos sécrétions. L’homme arrache alors mon pétale
bleu, qu’il accroche près d’un autre de même couleur, autour de son
cou. Puis il se retire et s’éloigne, aussi rapidement qu’il était
apparu. En reprenant peu après nos occupations interrompues, nous
évoquons ce qui vient d’arriver, en riant, commentant la rapidité
de l’acte, et aussi la densité du foutre, qui sèche sur mes reins.
Ma compagne roule des grands yeux et je comprends que le guerrier
qui m’a prise est son frère. La scène qui s’est déroulée sous ses
yeux, l’a excitée, et je comprends qu’elle attend que vienne son tour,
avec une certaine impatience. Nous rentrons au village, et je regagne
ma hutte pour préparer un repas. Je suis accroupie devant une grande
jarre en bois, dans laquelle je mélange des farines et des légumes.
Je n’entends qu’au tout dernier moment l’homme qui s’est approché
de moi. Il a écarté son pagne, et glissé sa main entre mes cuisses
: je suis ruisselante. Son sexe, bien qu’au repos, est déjà d’une
bonne proportion. Il attrape mon visage par le menton, et guide aussitôt
sa verge dans ma bouche, qui je ne refuse pas. Elle a un goût fort
de transpiration et d’urine. J’entreprends de la sucer, entourant
ma langue sur son gland. Je salive beaucoup et la saveur devient moins
acide. L’effet ne se fait pas attendre, et le membre gonfle et durcit
dans ma bouche, m’emplissant peu à peu. Bientôt, je ne peux plus le
contenir. Je veux l’extraire, mais l’homme me laisse juste reprendre
mon souffle, et je dois la ravaler aussitôt. De la main, j’entoure
alors sa tige, intercalant ainsi mes doigts entre ma bouche et son
pubis, afin de subir sans trop de difficultés les assauts d’une queue,
qui s’avère impressionnante. L’homme a avancé une jambe entre mes
cuisses, et la presse contre ma chatte. Aussitôt, je viens me frotter
contre la cheville, ouvrant mes lèvres, et dégageant mon clitoris,
énorme. Tout en pompant cette queue, et en malaxant les couilles qui
se sont gonflées et serrées à la racine, je me masturbe frénétiquement
contre la jambe que l’homme ne cesse de presser. Soudain, il s’immobilise.
Comprenant que sa jouissance arrive, je n’ai de cesse de continuer
à le bouffer, et à me frotter de plus en plus fort contre lui. Quand
il explose contre mon palais, je ne retiens plus mon propre plaisir,
qui me fait le lâcher, alors qu’il éjacule encore. Un jet de foutre
s’écrase sur mon visage, un autre sur mes seins, avant qu’il ne réussisse
à se réintroduire dans ma bouche. J’avale alors les dernières giclées
de sperme, au goût amer. Je continue de le sucer jusqu’à la détumescence,
mélangeant ma salive à son foutre. Quand il se retire, il dit des
mots que je ne comprends pas, bien que j’imagine volontiers le vocabulaire
: - Salope ! Chienne ! Tu as joui sur ma jambe ! - Mais il n’en a
pas terminé avec moi, et il dirige sa queue ramollie vers moi. Soudain,
une pluie dorée m’atteint le visage, je ferme les yeux, et laisse
l’homme uriner sur moi, me lavant des traces de foutre dont il venait
de me souiller. Le liquide est chaud, et son odeur est forte. J’ai
mis deux doigts autour de mon clitoris, et je me branle. Quand sa
pisse vient couler sur ma chatte, je jouis encore une fois, en m’écroulant
sur le sol. Il termine d’uriner entre mes cuisses, en secouant sa
queue, et ensuite, il se penche sur moi, et il arrache le pétale orange
de mon collier, pour le joindre au sien de même couleur. Plus tard,
je retourne à la rivière, et, après avoir ôté mon pagne, je me glisse
dans l’eau. Elle est chaude, et je plonge sous l’eau. Je remonte à
la surface, près de l’autre rive, et le spectacle qui s’y déroule
me laisse sans voix. Deux garçons sont allongés, leurs corps inversés,
et chacun a dans la bouche la verge de l’autre. Je sors de l’eau pour
m’approcher d’eux. Quand ils me voient, ils s’interrompent, sans aucune
gêne pour autant. Mon regard s’accroche à leurs queues, après avoir
constaté qu’ils avaient bien autour du cou les pétales, dans deux
couleurs, jaune et vert, que j’ai encore. Leurs tiges sont tendues
avec les testicules bien ramassés. Aucun poil ne couvre leur pubis.
L’un des garçons, le plus petit, au corps un peu trapu, et très musclé,
s’approche de moi, saisit ma main et la guide vers sa queue, courte
mais large. Elle est poissée de salive, et je la branle aussitôt.
Je sens mes lèvres, entre mes cuisses se gonfler d’excitation. L’autre
garçon s’est approché. Il est plus grand, comme sa verge, plus longue
et courbée vers le haut. Je la saisis, dans ma deuxième main, et la
branle en accord avec l’autre. Ils posent leurs mains sur mon corps,
pressent mes seins, pincent leurs pointes. Une main est sur mes fesses
et les étreint. Une autre est déjà dans ma touffe, et s’insinue entre
mes lèvres trempées. Quand je me penche, pour prendre la queue la
plus trapue dans ma bouche, l’autre m’échappe. Le garçon s’agenouille
derrière moi, et ses deux mains écartent mes fesses. Je sens alors
sa langue laper ma chatte, et son nez forcer mon anus. Je me cambre,
pour lui donner plus d’accès, et je sens bientôt ses lèvres aspirer
mon clitoris. Je suce encore plus fort la queue dans ma bouche, en
malaxant les bourses, qui butent contre mon menton. entre mes cuisses,
le suceur est parti à l’investigation de mon cul. Il dilate mon anus,
en le pistonnant de sa langue. Mon étoile se détend, et quand je sens
un doigt l’investir, je m’ouvre à sa rencontre. Deux autres doigts
le rejoignent et je m’ouvre encore. Pendant ce temps, je pompe comme
une forcenée la queue dans ma bouche. J’ai envie qu’elle jute dans
ma gorge, et je me démène du mieux que je peux. Mais mes deux amants
en décident autrement. Le sucé m’échappe, se laisse tomber sur le
sol et m’entraîne. Il tient sa queue dressée dans une main et m’oblige
à m’empaler sur lui. Son énorme gland m’ouvre en deux, et je me laisse
descendre à fond sur ses couilles. Nous prenons alors un rythme régulier.
Je me penche sur sa poitrine, ondulant mon bassin, pour favoriser
la pénétration. J’ai l’impression qu’il est encore plus gros en moi,
et je me sens emportée par un premier orgasme. Je me liquéfie sur
la queue qui me pilonne, et j’embrasse à pleine bouche le garçon.
J’ai presque oublié le deuxième, mais lorsque mon amant du moment
écarte mes fesses, je sens aussitôt un gland brûlant pointer mon anneau
et le forcer. Alors, je projette mes fesses en arrière à sa rencontre,
pour faciliter la sodomie. Je ne retiens plus mon bassin qui danse
à la rencontre des deux queues qui m’empalent. Je veux les sentir
me baiser tous les deux. Je le leur dis dans une langue que je ne
connais pas. Et ils redoublent de force dans leurs assauts. Je jouis
une deuxième fois, au moment où mon enculeur se retire. Mon trou produit
un bruit obscène. Je m’affole de cet abandon. Mais bien vite je comprends
qu’il n’a pas abandonné la partie, quand je le sens forcer mon vagin
pour se glisser le long de la verge de son compagnon. Écartelée, je
n’en peux plus de me sentir ainsi baisée. Je crie et j’en demande
encore. Mes amants me pistonnent, quelque fois chacun leur tour, quelquefois
ensemble. Je me sens forcée comme jamais, je m’écarte comme je peux
pour faciliter encore leur charge. J’en voudrais encore plus. Soudain,
je sens une explosion de foutre en moi. C’est le garçon qui est sous
moi, qui a joui et s’est vidé en un cri guttural. J’ai alors envie
de quelque chose de bien particulier. Je me dégage de l’étreinte de
mes deux amants. Celui qui n’a pas encore joui a un air dépité, mais
lorsqu’il me voit m’emparer de sa queue, il se rassure et s’enfourne
de lui-même au fond de ma gorge. Sa tige est poisseuse du mélange
de ma mouille et du foutre de son ami. Avoir dans la bouche le goût
du sperme du premier garçon, sur la queue bandée du second est une
sensation très forte, et je m’en délecte. Le garçon a posé ses mains
sur ma tête et me baise littéralement la bouche, sans douceur. Accroupie,
les jambes écartées, je laisse le garçon abandonné glisser ses doigts
dans ma chatte et me branler. En fait, il récupère sur sa main nos
sécrétions et la lèche ensuite, en me regardant vicieusement. Quand
il met deux doigts dans mon cul, je jouis de toutes ces sensations.
Quand il les porte à sa bouche, la queue de l’autre explose dans ma
gorge. J’avale la première giclée de sperme, puis une autre arrive,
puis une autre encore, et ainsi toute une série qui ne semble pas
vouloir s’arrêter. Je ne peux tout avaler de cette liqueur au goût
d’orgeat, qui dégouline au coin de mes lèvres. Quand tout est fini,
je suis allongée sur le sable, souriante, la respiration encore forte
Les garçons arrachent les pétales qui leur correspondent, et me disent
au revoir, en caressant mes seins aux pointes encore érigées, et ma
chatte encore gonflée. Lorsque je rentre au village, je me dis que
si je ne cherche pas par moi-même, je n’aurai pas eu mes sept hommages
à la fin du jour. J’entre dans une hutte, et j’y trouve un homme,
couché sur le dos, et endormi. Il est très gros, sa masse m’impressionne.
Il doit faire un rêve érotique, car son sexe s’est échappé de son
pagne, et il bande. Sa verge est énorme, avec une veine très saillante,
qui court le long de la tige. Je n’hésite pas une seconde quand je
vois qu’il a autour du cou un pétale violet, que je possède encore.
J’approche de lui, et m’accroupis au-dessus de son visage, savourant
à l’avance le délice de ses grosses lèvres sur mon sexe. Je m’installe
au-dessus de lui de façon à prendre sa queue que je guide dans ma
bouche. Quand l’homme se réveille, il a déjà ma chatte sur ses lèvres,
et j’ondule du bassin pour m’ouvrir à lui. Il se rue bientôt de lui-même
dans ma gorge, et je dois me reculer pour ne pas m’étouffer. Son gland
est gros comme un brugnon, et son goût est âcre, mélange de sueur
et d’urine. J’ai attrapé ses bourses, deux grosses pêches ridées,
et les malaxe sans douceur. De son côté, il suce vraiment mon clitoris,
gonflé d’excitation et ses doigts énormes s’engouffrent dans mon vagin
dégoulinant. Quand il ressort ses doigts, c’est pour les enfiler,
l’un après l’autre, dans mon anus, qui ne lui offre aucune résistance.
Je m’active sur son dard, je veux qu’il jouisse avant moi. Je lèche
sa hampe de bas en haut, l’humectant de salive. Mais ce cochon met
le paquet. Ses cinq doigts m’enculent, et quand je sens sa paume passer
mon sphincter, et que sa bouche aspire encore plus fort mon clitoris,
je ne peux retenir mon orgasme. Le frisson qui me parcourt alors déclenche
son propre plaisir, et il se déverse en moi, en un gros paquet de
sperme, épais, et amer, que je déglutis jusqu’à la dernière goutte.
Je lui ai donné mon pétale et l’ai laissé se rendormir. Je me suis
éloignée du village pour aller pisser, derrière un bosquet. Alors
que mon jet se répand sur le sol, un homme, avec un pétale rose s’approche
de moi. Sans même attendre que je termine, il glisse sa queue dans
ma bouche, plaque ses mains sur mon visage, et commence un va-et-vient
rapide, me forçant à l’avaler jusqu’aux couilles à chaque fois. Je
me retiens à ses hanches pour ne pas tomber, les fesses dans ma pisse.
Et en quelques secousses, l’homme éjacule dans ma bouche un flot de
foutre. Je suis tellement surprise de sa rapidité, que je ne marque
aucune réaction, lorsqu’il arrache le pétale et s’enfuit, comme honteux.
Je recrache son sperme, dégoûtée de ses manières. Je me promène alors
dans la forêt, aspirant à un peu de repos, avant de conquérir le dernier
pétale. J’entends du bruit derrière moi, mais je n’ai pas le temps
de me retourner, qu’un bras puissant m’a déjà soulevé de terre, et
m’enlève, jetée sur son épaule. Je me débats, frappant au hasard,
des pieds et des mains, quand je suis projetée dans la rivière. Quand
je remonte à la surface, je vois mon agresseur tout près de moi, qui
rie à gorge déployée. Il porte le pétale rouge autour du cou, le seul
qui me reste est de cette couleur. Alors ma fureur baisse, et sous
l’eau j’écarte son pagne, saisissant sa verge bandante. L’homme s’empare
de mes seins et les étire, comme s’il voulait les faire grossir. Mes
pointes ont durcies sous l’assaut. Alors je plonge sous la surface,
et ma bouche se colle à sa queue, que j’avale jusqu’à la racine. Je
la suce jusqu’à ce que l’air me manque, et remonte prendre mon souffle.
Je regarde l’expression de plaisir sur le visage de l’homme, et replonge
aussitôt, pour l’avaler à nouveau. Les mains sur ses hanches, je le
tête avec application, remontant pour reprendre mon souffle et replongeant
aussitôt vers la queue tendue. Lorsque je reviens à la surface une
nouvelle fois, l’homme m’attrape sous les aisselles, et m’entraîne
vers la rive. Il me dépose sur le sable, et se glisse entre mes cuisses.
Sa bouche se plaque sur mon sexe, et je l’accueille en soupirant.
Je plaque mes mains sur ses cheveux, et le guide dans ma touffe luxuriante.
Il débusque mon clitoris et l’aspire goulûment, jusqu’à le faire grossir
démesurément. Je sens mes lèvres gonflées par l’excitation, et je
me presse contre cette bouche qui me mange. La langue pénètre mon
vagin, comme un petite queue. Mon amant se dégage, mais c’est pour
mieux se reprendre. Il crache carrément sur ma chatte, ajoutant sa
salive à ma mouille. Puis il enfourne ses doigts, tous les cinq à
la fois, forçant mon sexe à s’ouvrir sous cet assaut. Mais le plus
surpris est mon envahisseur, quand il parvient sans trop de peine
à s’engouffrer jusqu’au poignet dans ma chatte. Je l’incite à me baiser
ainsi, attrapant mes cuisses de mes deux mains, pour m’ouvrir encore
plus. Mon cul se dilate aussi, et lorsqu’il voit mon oeillet s’agrandir,
il se redresse, libère ma chatte, et, agenouillé entre mes cuisses,
m’encule d’une seule poussée. Je gueule mon plaisir. Je me branle,
pendant qu’il me défonce. Je sens ses couilles battre mes fesses et
je pars à leur recherche. Je les malaxe entre mes doigts, et l’effet
ne se fait guère attendre. L’homme pousse un cri, se retire et je
vois son sperme jaillir et s’écraser blanc et épais, sur ma toison
noire. Je l’attrape à pleines mains et le reconduis dans ma chatte,
où il finit de se vider, provoquant mon orgasme, sous les contractions
de sa queue. Quand, repu, il s’écroule à mon côté, je rampe sur son
corps, avale sa verge et entreprends de la nettoyer. Elle a toutes
nos saveurs mélangées, son foutre, ma mouille et mon cul. C’est très
fort et très excitant, aussi. Je jouis une dernière fois, en frottant
ma chatte sur son visage, puis finis par libérer ma vessie. Je l’inonde
ma pisse et je sens sa bouche se coller à ma vulve, pour boire à cette
source, et capter le jet puissant de mon urine chaude et odorante.
Je ne bouge pas jusqu’à ce qu’il me libère, repu de ma liqueur. Quand
il a pris le dernier pétale, je me suis réveillée. Bisous